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Communiquer - connexions - réseaux....internet - analogie cerveau

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Communiquer - connexions - réseaux....internet - analogie cerveau Empty Communiquer - connexions - réseaux....internet - analogie cerveau

Message par PAULO Mer 13 Jan - 23:46


thèmes de réflexions

Communiquer - connexions - réseaux....

Internet

".....La meilleure image concrète de la façon dont fonctionne le cerveau humain est sans doute, aujourd'hui, le réseau Internet. Des centaines de millions d'ordinateurs à travers le monde se connectent et se déconnectent en permanence.
La réunion simultanée de plusieurs internautes sur un site peut générer un dialogue entre eux qui peut être assimilé à l'émergence d'un concept. Il n'y a pas de centre général Internet, tout comme il ne semble pas y avoir dans le cerveau de centre général de la pensée, il n'y a que des sites disponibles à tout instant mais pas nécessairement visités. Internet ressemble un peu à un cerveau planétaire.
Il lui manque pour ressembler au cerveau humain l'apparition d'aires pré-frontales, à moins qu'elles n'existent déjà mais que nous l'ignorions .... affaire à suivre de très près."


voici un article à visualiser

réf. études de C.J.
Le cerveau - page 23 -

LES MALADIES NEUROLOGIQUES
Par Caroline Januel
Les maladies neurologiques regroupent sous cette même appellation des pathologies extrêmement variées. Ces atteintes lésionnelles du cerveau, de la moelle épinière, des nerfs périphériques ou des muscles entraînent des troubles moteurs et/ou cognitifs, voire psychiatriques. Ces maladies, chroniques et évolutives, sont aussi synonymes de ruptures : au niveau familial, professionnel, financier. Épilepsie, sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson…, ces maladies sont connues de tous et très présentes dans les médias. Leur prévalence est telle que chacun, ou presque, a ou a eu dans son entourage familial ou amical une personne touchée. Cependant, on ne peut que constater le contraste saisissant entre la présence de ces maladies dans la société et la méconnaissance de ce qu’elles sont, de leurs causes, de leurs mécanismes et des perspectives thérapeutiques.

Les causes des maladies neurologiques restent globalement mystérieuses : on reconnaît souvent des facteurs familiaux et/ou génétiques se conjuguant à des facteurs environnementaux ou liés à l’histoire de vie. Le risque de développer la maladie d’Alzheimer augmente linéairement avec l’âge à partir de 60 ans, mais ce n’est pas le cas des autres maladies neurodégénératives.

Quant aux mécanismes intimes des maladies neurologiques, ils sont encore inégalement identifiés selon les maladies. Les liens entre les anomalies de connexion neuronale, les mécanismes de mort neuronale, de dégénérescence et les symptômes restent encore le sujet de discussions qui ne semblent pas près d’être closes.

Les stratégies thérapeutiques tentent de répondre par leur diversité au faisceau de symptômes de ces maladies. Mais en dépit des progrès prodigieux des neurosciences, on parle davantage de traitements symptomatiques, d’adaptation, de préservation de l’autonomie, que de guérisons.

Si ces prises en charge améliorent déjà le quotidien de milliers de patients, l’enjeu de la neuropharmacologie reste la mise au point des traitements curatifs. Les zones d’ombres entourant encore ces maladies nourrissent cet espoir et justifient les recherches fondamentales orientées vers l’étude des causes et des mécanismes intimes. Parallèlement, la découverte de la notion de plasticité cérébrale a permis d’imaginer la substitution de neurones sains aux neurones malades et d’envisager pour l’avenir des thérapies cellulaires. Mais au-delà du défi scientifique, les maladies neurologiques, et en particulier les maladies neurodégénératives, proposent un autre défi à notre société : anticiper le vieillissement de la population qui ne manquera pas de s’accompagner de l’augmentation du nombre de malades.

Les différentes régions sauront-t-elles relever ce double défi scientifique et sociétal ?....."

PAULO
Invité


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