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la fin du désert
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la fin du désert
bonjour,
l'électrocardiogramme m'a permis d'être diagnostiquée.
Enfin on m'écoute : inflammation des veines constatée.
Enfin on a compris mes souffrances et on m'a expliqué ma maladie.
Je vais pouvoir commencer les infiltrations :
Qui a déjà subi un traitement pour le nerf pudendal.
lien que j'ai trouvé
http://www.pudendalsite.com/le-nerf-pudendal.php
Avoir un diagnostic c'est super.
http://www.amap.asso.fr/docteur_de_bisschop.php
NOTES :
Décompression chirurgicale du nerf pudendal par voie périnéale à l’aide d’une sonde à ballonnet
Nous remercions le Dr Eric de Bisschop de nous adresser un diaporama sur la décompression chirurgicale du nerf pudendal par voie périnéale à l'aide d'une sonde à ballonnet.
Les informations sur le diagnostic, le matériel et la méthode, les complications, les résultats, les avantages et les conclusions.
Les algies pelviennes chroniques sont un motif fréquent de consultation. Les causes sont multiples et peuvent faire suspecter de nombreux organes. Avant d’aboutir au diagnostic, le patient consultera souvent plusieurs cliniciens de spécialités différentes et subira de nombreuses explorations complémentaires. Le diagnostic peut ne pas être clairement posé. Le patient se sentira alors abandonné à lui-même.
Dr Eric de Bisschop Clinique Casamance Bd Farigoules, F-13400 Aubagne
Dr Rajeshree Nundlall
Nouveaux concepts d’explorations électrophysiologiques du nerf pudendal dans le cadre de la névralgie pudendale
L’électrophysiologie de diagnostic permet d’orienter la localisation du site du ralentissement des conductions nerveuses du nerf pudendal.
L’électromyographie per-opératoire permet principalement de renseigner le chirurgien sur le succès de la décompression ou la nécessité de la compléter.
Spécialistes : Dr Eric Bisschop - Dr Eric Bautrant
notes à diffuser :
Pour bien comprendre les mécanismes et les causes de la névralgie pudendale, il est important de connaître le trajet complexe parcouru par ce nerf.
La scène se déroule donc dans le bassin. Ce nerf est un nerf appelé sacré car il prend naissance derrière le sacrum. Sa branche principale émerge du troisième trou sacré (S3) et est complétée par ses racines sœurs (S2 et S4). A noter que S1 et S5 peuvent apporter une contribution. Immédiatement à leur sortie, ils se placent sous le muscle piriforme. Ensuite, au niveau du ligament sacro épineux (n°1), ces nerfs se retrouvent pour ne faire plus qu'un, que l'on appellera nerf pudendal. Il passe entre le ligament n°1 et le ligament sacro-tubéral (n°2) qui forment une pince ligamentaire, pour pénétrer dans un dédoublement de l'aponévrose du muscle obturateur interne appelé canal d'alcock ou canal pudendal (n°3).
C'est dans ce canal que le nerf pudendal donnera naissance à 3 branches principales: le nerf dorsal du clitoris (ou verge), le nerf périnéal et le nerf rectal inférieur. Ces nerfs innerveront à la fois et en partie les sphincters urétral, anal, muscles périnéaux et organes génitaux.
Ceci est donc le descriptif anatomique d'un nerf pudendal classique et en bonne santé. Dans le cas d'une névralgie pudendale, le nerf est confronté le long de son trajet à une ou plusieurs compressions qui l'irritent voir l'abîment avec le temps.
LES SYMPTÔMES
Tout d'abord, il faut bien comprendre que cette maladie est évolutive et donc les symptômes décrits ci-dessous peuvent changer voir s'intensifier au fil du temps. Un facteur également important est la spécificité de l'individu (chaque personne est unique) ce qui peut engendrer quelques modifications au niveau du tableau clinique...
En revanche, il y a des troubles caractéristiques et communs chez toutes les personnes atteintes par cette pathologie.
En voici le détail :
Le type de douleur qui prédomine dans cette affection est la sensation de brûlure. Elle est uni ou bilatérale et se manifeste principalement dans la zone rectale, périnéale, urétrale et/ou organes génitaux (clitoris, vagin, verge, testicule...), elle peut également lors de forte crise se propager en avant dans les cuisses. C'est véritablement une sensation de cuisson très puissante qui est décrite par les malades. D'autres symptômes sont également très présents comme la sensation de corps étranger au niveau du rectum (balle de tennis), des décharges électriques (coups d'aiguilles) de forte intensité*, des pincements très profonds dans le rectum ainsi que des torsions voir tiraillements dans toute la sphère périnéale. Les douleurs sont permanentes, quotidiennes et aggravées en position assise*. Elle démarre en général le matin dès les premiers actes de la vie quotidienne (prise du petit déjeuner), évoluant toute la journée par poussée pour atteindre des sommets en soirée. La douleur s'apaise en général en position debout ou allongé. Les douleurs sont souvent intolérables pouvant atteindre 10 sur l'échelle de EVA.
Voilà pour ce qui est de la forme « classique » mais comme nous vous le disions en introduction il n'est pas rare de constater la présence de problèmes associés survenant dés le début de l'affection voire après.
En tête de liste, les troubles urinaires et fécaux : Ils sont très fréquents et peuvent souvent aggraver les symptômes évoqués ci-dessus. Ils se traduisent par des brûlures à la miction, une augmentation de la fréquence urinaire ainsi que des troubles « sphinctériens » comme la dysurie (hésitation mictionnelle), difficulté à expulser les derniers jets d'urine et petite fuite post-mictionnelle. L'urgence urinaire est également présente alors que la vessie est quasiment vide. Des douleurs liées à la défécation se produisent et s'accompagnent de diarrhées ou/et de constipations. Les sensations habituelles de gêne dans le rectum n'arrangent pas les choses et conduisent le malade à multiplier ses passages à la selle, provoquant donc l'aggravation des symptômes initiaux. Ces anomalies entraînent des troubles intestinaux importants occasionnant des douleurs dans le bas ventre et qualifiés par le milieu médical de véritable syndrome du colon irritable.
Des troubles sexuels sont aussi très souvent observés et peuvent revêtir différentes formes. Pour les hommes, l'éjaculation est source de douleur et d'aggravation. Les érections sont moins fermes voire absentes. Le contrôle de l'éjaculation est difficile et l'expulsion du sperme se fait mal. Pour les femmes les problèmes sont du même ordre. Douleurs durant les rapports, absence de plaisir, clitoris et vulve hypersensibles, gène à la pénétration...
En clair, la libido est très affectée par tous ces symptômes et il n'est pas rare que les malades abandonnent leur sexualité (source de douleur).
LES TRAITEMENTS
Actuellement, l'arsenal thérapeutique officiel et disponible pour lutter contre cette maladie se compose de : traitements médicamenteux, infiltrations et chirurgie. Ils vont en général par ordre croissant mais tout ceci dépendra de beaucoup de facteurs (âge, ancienneté des symptômes, résultat thérapeutique, degré de compression, consentement du malade...). Ici encore il n'y a pas de règle absolue. Comme au sujet des symptômes, la spécificité de l'individu est au centre. Ce qui marchera pour une personne ne fonctionnera pas forcément pour une autre. D'où l'importance des équipes pluridisciplinaires, ce sont elles qui élaboreront le traitement le plus adapté et le plus efficace. La solution sera proportionnée au retentissement de la maladie sur le quotidien du malade.
Les médicaments
Il faut savoir que cette névralgie pudendale est tenace et résiste aux traitements habituels : par exemple les anti-douleurs classiques ainsi que la morphine sont souvent inefficaces. Seuls les anti-épileptiques (Rivotril), anti-comitiaux (Neurontin, Lyrica) et les anti-dépresseurs (Laroxyl, Déroxat) ainsi que Myolastan, Tramadol, Topalgic, Tofranil.., possèdent des propriétés qui agiront sur la perception de la douleur. Ce n'est donc qu'une solution alternative; en aucun cas cela ne pourra agir sur la cause.
Sous contrôle médical les molécules de ces différents médicaments pourront être associées pour ainsi obtenir un résultat optimal. Un dosage précis et individuel permettra à certains malades de retrouver un confort de vie acceptable.
Les infiltrations
Elles sont réalisées sous scanner ou sous contrôle "visuel". Elles sont faîtes de façon unie ou bi-latérale dans la ou les zones de conflits (pince ligamentaire et canal d'alcock). Les produits administrés sont des corticoïdes à effet retardataire.
Cet acte peut être reproduit 3 à 4 fois maximum avec un intervalle d'environ un mois. Les effets, s'ils ont lieu, se manifesteront entre la 2ème et 4ème semaines. Le taux de réussite est de 70%, ce chiffre comprend les améliorations même transitoires et/ou durables. En réalité, la disparition totale et définitive des symptômes n'intervient que dans 15 à 20% des cas. Cet acte médical se déroule de la façon suivante :
-Sous scanner : (ex : Pince ligamentaire) Le patient est allongé sur le ventre et sera placé sous l'appareil radiologique pendant toute la durée de la séance. Le praticien lui fera une injection de lidocaïne (produit anesthésiant) au niveau de la région glutéale. Ensuite une fois anesthésié, on lui introduira une aiguille toujours par voie trans-glutéale qui sera placée en dedans de l'épine sciatique. Là, seront injectés un anesthésique local et un anti-inflammatoire de type corticoïde.
Cette infiltration ne comporte pas véritablement de risque, surtout si elle est effectuée par un médecin expérimenté. Le seul désagrément peut être une allergie au produit (rare) ou une petite paralysie temporaire du sphincter urinaire et/ou des membres inférieurs. Une augmentation des symptômes pendant quelques jours voire semaines (2 maximum) peut être observée mais sans gravité. Il est cependant recommandé de ne pas conduire dans les heures qui suivent cette intervention.
-Sous contrôle « du toucher » : les produits injectés sont les mêmes mais la technique est encore plus simple. Le patient est allongé sur le dos et par touché anal ou vaginal, le médecin va localiser la zone qu'il souhaite infiltrer. En parallèle, il introduira une aiguille sous le périnée (Transpérinéale), du coté douloureux et injectera les produits cités ci-dessus. Les recommandations seront les mêmes. Pour voir le schéma,
l'électrocardiogramme m'a permis d'être diagnostiquée.
Enfin on m'écoute : inflammation des veines constatée.
Enfin on a compris mes souffrances et on m'a expliqué ma maladie.
Je vais pouvoir commencer les infiltrations :
Qui a déjà subi un traitement pour le nerf pudendal.
lien que j'ai trouvé
http://www.pudendalsite.com/le-nerf-pudendal.php
Avoir un diagnostic c'est super.
http://www.amap.asso.fr/docteur_de_bisschop.php
NOTES :
Décompression chirurgicale du nerf pudendal par voie périnéale à l’aide d’une sonde à ballonnet
Nous remercions le Dr Eric de Bisschop de nous adresser un diaporama sur la décompression chirurgicale du nerf pudendal par voie périnéale à l'aide d'une sonde à ballonnet.
Les informations sur le diagnostic, le matériel et la méthode, les complications, les résultats, les avantages et les conclusions.
Les algies pelviennes chroniques sont un motif fréquent de consultation. Les causes sont multiples et peuvent faire suspecter de nombreux organes. Avant d’aboutir au diagnostic, le patient consultera souvent plusieurs cliniciens de spécialités différentes et subira de nombreuses explorations complémentaires. Le diagnostic peut ne pas être clairement posé. Le patient se sentira alors abandonné à lui-même.
Dr Eric de Bisschop Clinique Casamance Bd Farigoules, F-13400 Aubagne
Dr Rajeshree Nundlall
Nouveaux concepts d’explorations électrophysiologiques du nerf pudendal dans le cadre de la névralgie pudendale
L’électrophysiologie de diagnostic permet d’orienter la localisation du site du ralentissement des conductions nerveuses du nerf pudendal.
L’électromyographie per-opératoire permet principalement de renseigner le chirurgien sur le succès de la décompression ou la nécessité de la compléter.
Spécialistes : Dr Eric Bisschop - Dr Eric Bautrant
notes à diffuser :
Pour bien comprendre les mécanismes et les causes de la névralgie pudendale, il est important de connaître le trajet complexe parcouru par ce nerf.
La scène se déroule donc dans le bassin. Ce nerf est un nerf appelé sacré car il prend naissance derrière le sacrum. Sa branche principale émerge du troisième trou sacré (S3) et est complétée par ses racines sœurs (S2 et S4). A noter que S1 et S5 peuvent apporter une contribution. Immédiatement à leur sortie, ils se placent sous le muscle piriforme. Ensuite, au niveau du ligament sacro épineux (n°1), ces nerfs se retrouvent pour ne faire plus qu'un, que l'on appellera nerf pudendal. Il passe entre le ligament n°1 et le ligament sacro-tubéral (n°2) qui forment une pince ligamentaire, pour pénétrer dans un dédoublement de l'aponévrose du muscle obturateur interne appelé canal d'alcock ou canal pudendal (n°3).
C'est dans ce canal que le nerf pudendal donnera naissance à 3 branches principales: le nerf dorsal du clitoris (ou verge), le nerf périnéal et le nerf rectal inférieur. Ces nerfs innerveront à la fois et en partie les sphincters urétral, anal, muscles périnéaux et organes génitaux.
Ceci est donc le descriptif anatomique d'un nerf pudendal classique et en bonne santé. Dans le cas d'une névralgie pudendale, le nerf est confronté le long de son trajet à une ou plusieurs compressions qui l'irritent voir l'abîment avec le temps.
LES SYMPTÔMES
Tout d'abord, il faut bien comprendre que cette maladie est évolutive et donc les symptômes décrits ci-dessous peuvent changer voir s'intensifier au fil du temps. Un facteur également important est la spécificité de l'individu (chaque personne est unique) ce qui peut engendrer quelques modifications au niveau du tableau clinique...
En revanche, il y a des troubles caractéristiques et communs chez toutes les personnes atteintes par cette pathologie.
En voici le détail :
Le type de douleur qui prédomine dans cette affection est la sensation de brûlure. Elle est uni ou bilatérale et se manifeste principalement dans la zone rectale, périnéale, urétrale et/ou organes génitaux (clitoris, vagin, verge, testicule...), elle peut également lors de forte crise se propager en avant dans les cuisses. C'est véritablement une sensation de cuisson très puissante qui est décrite par les malades. D'autres symptômes sont également très présents comme la sensation de corps étranger au niveau du rectum (balle de tennis), des décharges électriques (coups d'aiguilles) de forte intensité*, des pincements très profonds dans le rectum ainsi que des torsions voir tiraillements dans toute la sphère périnéale. Les douleurs sont permanentes, quotidiennes et aggravées en position assise*. Elle démarre en général le matin dès les premiers actes de la vie quotidienne (prise du petit déjeuner), évoluant toute la journée par poussée pour atteindre des sommets en soirée. La douleur s'apaise en général en position debout ou allongé. Les douleurs sont souvent intolérables pouvant atteindre 10 sur l'échelle de EVA.
Voilà pour ce qui est de la forme « classique » mais comme nous vous le disions en introduction il n'est pas rare de constater la présence de problèmes associés survenant dés le début de l'affection voire après.
En tête de liste, les troubles urinaires et fécaux : Ils sont très fréquents et peuvent souvent aggraver les symptômes évoqués ci-dessus. Ils se traduisent par des brûlures à la miction, une augmentation de la fréquence urinaire ainsi que des troubles « sphinctériens » comme la dysurie (hésitation mictionnelle), difficulté à expulser les derniers jets d'urine et petite fuite post-mictionnelle. L'urgence urinaire est également présente alors que la vessie est quasiment vide. Des douleurs liées à la défécation se produisent et s'accompagnent de diarrhées ou/et de constipations. Les sensations habituelles de gêne dans le rectum n'arrangent pas les choses et conduisent le malade à multiplier ses passages à la selle, provoquant donc l'aggravation des symptômes initiaux. Ces anomalies entraînent des troubles intestinaux importants occasionnant des douleurs dans le bas ventre et qualifiés par le milieu médical de véritable syndrome du colon irritable.
Des troubles sexuels sont aussi très souvent observés et peuvent revêtir différentes formes. Pour les hommes, l'éjaculation est source de douleur et d'aggravation. Les érections sont moins fermes voire absentes. Le contrôle de l'éjaculation est difficile et l'expulsion du sperme se fait mal. Pour les femmes les problèmes sont du même ordre. Douleurs durant les rapports, absence de plaisir, clitoris et vulve hypersensibles, gène à la pénétration...
En clair, la libido est très affectée par tous ces symptômes et il n'est pas rare que les malades abandonnent leur sexualité (source de douleur).
LES TRAITEMENTS
Actuellement, l'arsenal thérapeutique officiel et disponible pour lutter contre cette maladie se compose de : traitements médicamenteux, infiltrations et chirurgie. Ils vont en général par ordre croissant mais tout ceci dépendra de beaucoup de facteurs (âge, ancienneté des symptômes, résultat thérapeutique, degré de compression, consentement du malade...). Ici encore il n'y a pas de règle absolue. Comme au sujet des symptômes, la spécificité de l'individu est au centre. Ce qui marchera pour une personne ne fonctionnera pas forcément pour une autre. D'où l'importance des équipes pluridisciplinaires, ce sont elles qui élaboreront le traitement le plus adapté et le plus efficace. La solution sera proportionnée au retentissement de la maladie sur le quotidien du malade.
Les médicaments
Il faut savoir que cette névralgie pudendale est tenace et résiste aux traitements habituels : par exemple les anti-douleurs classiques ainsi que la morphine sont souvent inefficaces. Seuls les anti-épileptiques (Rivotril), anti-comitiaux (Neurontin, Lyrica) et les anti-dépresseurs (Laroxyl, Déroxat) ainsi que Myolastan, Tramadol, Topalgic, Tofranil.., possèdent des propriétés qui agiront sur la perception de la douleur. Ce n'est donc qu'une solution alternative; en aucun cas cela ne pourra agir sur la cause.
Sous contrôle médical les molécules de ces différents médicaments pourront être associées pour ainsi obtenir un résultat optimal. Un dosage précis et individuel permettra à certains malades de retrouver un confort de vie acceptable.
Les infiltrations
Elles sont réalisées sous scanner ou sous contrôle "visuel". Elles sont faîtes de façon unie ou bi-latérale dans la ou les zones de conflits (pince ligamentaire et canal d'alcock). Les produits administrés sont des corticoïdes à effet retardataire.
Cet acte peut être reproduit 3 à 4 fois maximum avec un intervalle d'environ un mois. Les effets, s'ils ont lieu, se manifesteront entre la 2ème et 4ème semaines. Le taux de réussite est de 70%, ce chiffre comprend les améliorations même transitoires et/ou durables. En réalité, la disparition totale et définitive des symptômes n'intervient que dans 15 à 20% des cas. Cet acte médical se déroule de la façon suivante :
-Sous scanner : (ex : Pince ligamentaire) Le patient est allongé sur le ventre et sera placé sous l'appareil radiologique pendant toute la durée de la séance. Le praticien lui fera une injection de lidocaïne (produit anesthésiant) au niveau de la région glutéale. Ensuite une fois anesthésié, on lui introduira une aiguille toujours par voie trans-glutéale qui sera placée en dedans de l'épine sciatique. Là, seront injectés un anesthésique local et un anti-inflammatoire de type corticoïde.
Cette infiltration ne comporte pas véritablement de risque, surtout si elle est effectuée par un médecin expérimenté. Le seul désagrément peut être une allergie au produit (rare) ou une petite paralysie temporaire du sphincter urinaire et/ou des membres inférieurs. Une augmentation des symptômes pendant quelques jours voire semaines (2 maximum) peut être observée mais sans gravité. Il est cependant recommandé de ne pas conduire dans les heures qui suivent cette intervention.
-Sous contrôle « du toucher » : les produits injectés sont les mêmes mais la technique est encore plus simple. Le patient est allongé sur le dos et par touché anal ou vaginal, le médecin va localiser la zone qu'il souhaite infiltrer. En parallèle, il introduira une aiguille sous le périnée (Transpérinéale), du coté douloureux et injectera les produits cités ci-dessus. Les recommandations seront les mêmes. Pour voir le schéma,
fabY- Invité
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