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Nerf, ligament, douleurs, compressions, sciatique, cruralgie
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Nerf, ligament, douleurs, compressions, sciatique, cruralgie
Bonjour,
Je souffre depuis de longs mois, avec douleurs principalement dans la jambe droite mais aussi par moment dans la gauche. J'ai subi des infiltrations très douloureuses. L'effet n'a durée tout au plus que deux semaines.
Ces douleurs me réveillent plusieurs fois la nuit, car je ne tiens pas très longtemps dans la même position.
Ma vie est un calvaire. Je ne peux pas rester debout longtemps, ni marcher longtemps.
Traité par IXPRIM dérivé Morphine, mon corps s'est habitué.
Tremblement, froid, chaud.
On a essayé le sevrage
Mon chirurgien ma prescrit de l'exomil pour faire le sevrage.
Aucune différence.
Mon généraliste ma ensuite proposé un anti-dépresseur pour m'aider à supporter ma douleur. Je ne vois pas le bout du tunnel. J'ai perdu l'espoir et ne sais plus quoi faire. La dépression s'est installée.
Voir un rhumatologue. J'ai parfois l'impression qu'on ne me prend pas au sérieux.
Mes radiographies et IRM ne justifient pas de chirurgie.
Aucune proposition d'intervention.
J'ai l'impression de devenir folle. J'aimerai tellement ne plus souffrir. Ma vie privée devient un désastre, et ma vie professionnelle.
Traitée pour une supposé sciatique, névrite sciatique ou sciatalgie, aujourd'hui on évoque cruralgie.
Mon médecin m'a expliqué que la douleur associée au nerf sciatique est secondaire à un autre problème.
Il s'appuie sur d'autres études.
Il dit que l'on pense trop rapidement que cela se manifeste par une douleur vive, comme une brûlure qui s'étend sur le trajet du nerf à l'arrière de la cuisse et du mollet sur une largeur variable allant jusqu'à 4 cm. Ce serait une conséquence et il faudrait chercher l'origine et la traiter.
Disco cervicalgie, hanches, lombaires;
Ce qu'il défend se tient :
Mes difficultés sont accompagnées d'un déficit neurologique qui se traduit par des pertes de sensibilité, de réflexes, de force et par des engourdissements.
Il pense principalement à une compression ou souci avec le muscle de la fesse forme pyramidale ou piriforme ou ischio-jambier.
Il me préconise une thérapie appliquée par un ostéopathe, un chiropraticien ou un masso thérapeute.
Ces techniques permettraient de relâcher la musculature.
A t-on du recul sur ces techniques ? Triggers, Active Release et le FNP (facilitation neuro musculaire proprioceptive).
maeva- Invité
pourquoi pas
Quand on ne veut plus souffrir
il faut essayer de trouver la meilleure thérapie.
La sciatique, la cruralgie peuvent-elles avoir des origines psy ?
il faut essayer de trouver la meilleure thérapie.
La sciatique, la cruralgie peuvent-elles avoir des origines psy ?
el a écrit:
bjr,
S.V.P.
Visitez cette page, vous aurez un autre point de vues.
Pour reprendre des phrases célèbres :
"La répétition ne transforme pas un mensonge en vérité."
Franklin D. Roosevelt
Cela ne signifie pas pour autant que
"L'unicité de pensée ne prouve pas qu'une vérité est mensonge." Est. L.
article que vous trouverez sur le net
LE MAL DE DOS
extrait de la première partie sans croquis.
Dr Denis Remy médecin ostéopathe (Source internet - à vérifier)
"Quand on souffre - si on pouvait changer la rotation de la terre on le ferait - alors faisons en sorte qu'elle continue de tourner dans le meilleur des mondes"
Ne perdons pas de vues que beaucoup de patients sont encore soignés pour des causes fonctionnelles;
Ne perdez pas de vue que les examens de notre époque ne diagnostiquent pas encore tout.
L'humilité n'est pas encore fonctionnelle et universelle. Et si on n'écoute pas son bon sens ou celui de ceux qui nous veulent du bien.
c'est le résultat qui tranchera et avant d'y parvenir le chemin est long.
Pour la réflexion
http://www.distrimed.com/articles/Juillet_2003_01.htm
Pour ceux qui ne peuvent accéder au lien :
Extrait intéressant :
LES CAUSES DU MAL DE DOS
On les range en trois grandes catégories :
Les causes organiques - les causes mécaniques - les causes fonctionnelles.
Mais les choses ne sont pas si simple et l'on rajoute une quatrième catégorie : les causes mixtes ou intriquées (il s'agit des cas où l'on retrouve chez un même patient à la fois des causes mécaniques, fonctionnelles et même organiques).
LES CAUSES ORGANIQUES
On ne s'y attardera pas, car elles représentent les causes rares, c'est-à-dire moins de 5% des maux de dos. Malgré tout, il est évidemment très important d'y penser, et c'est bien sur le rôle du médecin, car elles ont un traitement spécifique et sont souvent guérissables si elles sont prises à temps.
Pour mémoire, on range dans les causes organiques, les tumeurs (cancéreuses ou non), les rhumatismes inflammatoires (la spondylarthrite) et les causes infectieuses (encore plus rare) comme les spondylodiscites, c'est-à-dire l'infection du disque intervertébral.
On ne saurait trop vous conseiller d'aller au moins une fois consulter un médecin compétent et faire un minimum d'examens complémentaires (radiographies, éventuellement scanner ou IRM) afin de poser un diagnostic avant de pratiquer la pose sipho.
LES CAUSES MÉCANIQUES
On les définit comme les douleurs provoquées par une augmentation des pressions sur les zones sensibles de la colonne vertébrale, c'est-à-dire les disques intervertébraux, les muscles para vertébraux, et les racines nerveuses émergeant par les trous de conjugaison. Nous étudierons ces notions d'anatomie dans le chapitre suivant. Retenons pour l'instant ques les causes mécaniques les plus fréquentes sont :
Les hernies discales, l' hyper lordose lombaire (ou augmentation de la cambrure), le canal lombaire étroit, l'arthrose postérieure et les contractures musculaires para vertébrales.
Les activités quotidiennes incriminées dans les douleurs mécaniques se retrouvent essentiellement dans le sport, les activités professionnelles et la vie scolaire.
Le sportif de haut niveau est particulièrement sujet aux lombalgies du fait d'un surentraînement et des multiples traumatismes auxquels est soumise la colonne vertébrale. Certains sports sont plus exposés aux lombalgies pour leur brutalité (football, rugby) ou pour leurs efforts en extension (basket, tennis).
Mais le sport loisir est parfois également responsable de lombalgies, notamment les séances inappropriées de gymnastique encore en pratique dans les écoles ou dans les cours pour adultes (la "gymtonic" est à cet égard particulièrement nocive).
Les activités professionnelles jouent un rôle incontestable : les professions de santé, singulièrement les aides-soignantes (port de malades) et les dentistes (flexion du tronc en avant) sont exposées au mal de dos, ainsi que les manutentionnaires et les travailleurs de l'industrie et du bâtiment (soulèvement de charges, utilisation d'outils vibrants ...). Que dire encore du conducteur d'engins dont la colonne vertébrale subit les vibrations du moteur et du jardinier qui travaille à longueur de journée le tronc fléchi en avant, de la même manière que la femme de ménage.
La vie scolaire a également son importance et le rôle du mobilier scolaire, du port des cartables lourds ont été incriminés. L'école a une place particulière dans l'histoire des lombalgies, car elle est le lieu d'une éducation posturale qui marquera définitivement le jeune scolarisé. Il y apprendra hélas, une gymnastique trop souvent inappropriée pour la colonne vertébrale.
LES CAUSES FONCTIONNELLES
Ce sont sans doute les causes les plus difficiles à diagnostiquer et leur diagnostic est d'ailleurs le plus souvent un diagnostic par défaut. Autrement dit, lorsque l'on n'a retrouvé ni cause organique, ni cause mécanique, la douleur est alors fonctionnelle.
On range dans les causes fonctionnelles toutes les causes d'origine psychique notamment l'hystérie, la sinistrose, l'hypochondrie et surtout les syndromes dépressifs.
Toutes ces maladies agissent en augmentant le seuil à la douleur. Cela veut dire en simplifiant que ces patients ressentent des douleurs qu'ils ne devraient pas percevoir car leur dos est sain, mais ce sont les centres, les voies et les récepteurs de la douleur qui fonctionnent mal.
Ces patients réagissent en général bien aux thérapies du type hypnose ou relaxation.
LES CAUSES MIXTES OU INTRIQUÉES
Ces causes où l'on retrouve pèle-mêle des origines mécaniques, fonctionnelles et même organiques illustrent parfaitement ce vieux proverbe chinois :
"Le médecin commence à avoir mal à la tête quand son patient a mal au dos".
Quand aux fréquences, si les causes organiques sont les plus rares avec moins de 5% des cas, les causes mécaniques sont les plus fréquentes avec 60% des cas, les causes fonctionnelles représentent 10% des cas et les causes mixtes environ 25%.
COMPRENDRE SA DOULEUR
ANATOMIE DU DOS
Le dos est une structure mobile constitué par trois éléments anatomiquement essentiels :
* La colonne vertébrale qui sert d'armature. On la nomme en terme médical : le rachis.
* Les muscles para vertébraux : ils assurent le maintien et la mobilité.
* Les éléments nerveux : ils ont pour rôle la commande et la sensibilité.
LA COLONNE VERTÉBRALE :
Elle se présente comme un empilement de pièces osseuses : les vertèbres (au nombre de 24). Le tout repose sur le sacrum qui se termine par le coccyx.
La colonne vertébrale comporte trois parties de haut en bas :
* La colonne cervicale composée de 7 vertèbres, elle soutien la tête et en permet les différents mouvements.
* La colonne dorsale composée de 12 vertèbres.
* La colonne lombaire composée de 5 vertèbres, elle est soumise au maximums d'efforts et sera le plus souvent à l'origine des douleurs.
Vue de face, la colonne vertébrale apparaît rectiligne, par contre de profil apparaissent trois courbures naturelles :
* A l'étage cervical, une légère courbure à concavité postérieure : la lordose cervicale.
* A l'étage dorsal, une courbure à convexité postérieure : la cyphose dorsale.
* A l'étage lombaire, une courbure à concavité postérieure : la lordose lombaire.
En termes plus simple, la lordose est la cambrure, la cyphose est la bosse.
La colonne vertébrale
Les vertèbres sont articulées entre elles par le disque intervertébral
et par une petite articulation sensible appelée dans le jargon médical "articulaire postérieure" .
Le disque intervertébral est une sorte de petit coussin gélatineux entouré d'une enveloppe qui sert d'amortisseur entre les vertèbres.
vertebres et disque intervertebral
LES MUSCLES INTERVERTÉBRAUX
:
Pour bien comprendre leur rôle, on les schématise par la figure ci-contre. Leur nombre et leurs points d'insertion sont si complexes qu'on les compare souvent au système compliqué des haubans qui maintenaient les mâts des grandes goélettes d'autrefois.
les muscles para vertébraux
LES ÉLÉMENTS NERVEUX :
Ils sont constitués par la moelle épinière qui descend le long de la colonne dans le canal rachidien depuis la base du crâne jusqu'à hauteur de la deuxième vertèbre lombaire, et les racines nerveuses qui émergent de la moelle par les trous de conjugaison.
Le trou de conjugaison (en C sur la figure des vertèbres) se forme entre le disque intervertébral et l'articulation postérieure par la superposition des vertèbres.
LES MÉCANISMES DE LA DOULEUR
La douleur mécanique a pour origine essentielle l'augmentation des tensions et des pressions au niveau des disques intervertébraux et des articulaires postérieures.
colonne vertébrale normale et colonne vertébrale souffrante
Image de gauche : colonne vertébrale normale ; Image de droite colonne vertébrale souffrante
L'image de droite va nous permettre de visualiser la douleur. Elle représente les réactions engendrées par le lever d'une charge trop lourde ou dans des positions inadaptées.
La cambrure lombaire s'accentue, les vertèbres écrasent les disques en les pinçant sur la partie postérieure. Ce qui a pour effet dans le pire des cas, de rompre l'enveloppe du disque et de laisser échapper une partie du disque qui viendra comprimer la racine nerveuse correspondante : c'est la hernie discale.
Les articulaires postérieures, très sensibles, sont soumises à des augmentations de pressions qui les rendent douloureuses.
Les trous de conjugaison et le canal rachidien ont tendance à diminuer de calibre, comme un tuyau que l'on plie, et de ce fait compriment les racines nerveuses.
Lorsqu'il s'agit du nerf sciatique, le patient ressent une vive douleur le long de la face postérieure de la cuisse et de la jambe.
Lorsqu'il s'agit, plus rarement du nerf crural (cruralgie) la douleur se limite à la face antérieure de la cuisse.
En réaction à cette douleur, s'installe une violente contracture musculaire qui ne fait qu'augmenter la pression intra discale. Le patient entre alors dans le cercle vicieux redoutable et redouté des lombalgiques :
Douleur = Contracture = Douleur
Quel est le remède pour stopper l'installation de ce cercle vicieux ?
Les médicaments bien entendu sont souvent indispensables en période aiguë, mais ils deviennent vite inefficaces par un effet d'accoutumance bien connu et surtout ils ont des effets secondaires désastreux, notamment sur les estomacs fragiles.
La chaleur est un excellent décontractant. Un bain chaud, ou une séance de "sèche-cheveux" sur la partie endolorie ont un effet antalgique, mais hélas souvent éphémère.
Les séances de kinésithérapie : les massages et la physiothérapie (électrothérapie, ultrason, laser) sont indispensables dans les cas difficiles, mais ils ne pourront pas durer très longtemps compte tenu des restrictions de la sécurité sociale.
La dernière solution est une méthode de relaxation et d'étirement......
anisa- Invité
RELATIONS DENTS ET MAL DE DOS
RELATIONS DENTS ET MAL DE DOS
j'ai trouvé un article intéressant sur
"ça m'intéresse de 10/2010" N° 357
On parle de la relation dents et douleurs diffuses.
delfine2- Invité
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