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MALADIE NEUROLOGIQUE : Parkinson - recherche et étude 2014
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MALADIE NEUROLOGIQUE : Parkinson - recherche et étude 2014
Identification de nouveaux facteurs génétiques.
http://www.informationhospitaliere.com/actualite-23150-parkinson-six-nouveaux-facteurs-genetiques-susceptibilite-identifies.html
Parkinson : six nouveaux facteurs génétiques de susceptibilité identifiés.
Maladie neurologique chronique dégénérative qui se déclare entre 45 et 70 ans, la maladie de Parkinson affecte le système nerveux central. Elle est à l’origine de troubles essentiellement moteurs, à évolution progressive. Reconnaissable aux tremblements incontrôlés des membres du patient ou à la rigidité du tronc, cette pathologie est la conséquence directe de la destruction lente de neurones du locus niger (ou « substance noire ») et d'une atteinte des faisceaux nigro-striés. En France, elle toucherait un peu plus de 150 000 personnes. Il n’existe aucun traitement curatif, il est cependant possible avec le Lévodopa, un médicament contenant un précurseur de la dopamine, de ralentir l’évolution de la maladie et ainsi, d’améliorer la qualité de vie des patients. Dans certains pays, il est possible pour quelques cas graves, d’avoir recours à la stimulation cérébrale profonde. On estime qu’un peu plus de 100 000 parkinsoniens dans le monde y ont accès.
Afin de comprendre les causes à l’origine de cette maladie, des chercheurs de l’US National Institutes of Health ont comparé les différentes données issues de 13 708 parkinsoniens à celles provenant de 95 282 témoins. Grâce à une nouvelle méthode qui compare les variations génétiques, ils ont pu identifier de nouvelles différences entre les génomes de personnes atteintes par la maladie et les autres. Ils ont ainsi mis au jour 6 nouveaux gènes susceptibles d’être impliqués dans la survenue de cette maladie. Au final, 24 variants génétiques pourraient être considérés comme des facteurs de risques potentiels.
Pour confirmer leurs résultats, les chercheurs ont criblé un nouveau panel de 10 904 personnes, dont 5 353 avaient déclaré la maladie. pour cela ils ont utilisé une puce, nommée Neurox, dont la principale caractéristique est de contenir les codes d’un peu plus de 24 000 variants génétiques, tous soupçonnés d’être impliqués dans la survenue de troubles neurodégénératifs.
En conclusion, les chercheurs américains estiment que les personnes, possédant un plus grand nombre de mutations, ont des risques nettement plus élevés de développer la maladie de Parkinson.
http://www.informationhospitaliere.com/actualite-23150-parkinson-six-nouveaux-facteurs-genetiques-susceptibilite-identifies.html
Parkinson : six nouveaux facteurs génétiques de susceptibilité identifiés.
Une analyse minutieuse du génome humain, à l’aide de techniques dernier cri, a permis à des chercheurs américains de mettre au jour 6 nouveaux facteurs de risque génétique de développer la maladie de Parkinson. Cette découverte devrait apporter un nouveau regard sur les mécanismes impliqués dans sa survenue. C’est ce que révèle une étude publiée dans la dernière édition de la revue Nature Genetics.
Maladie neurologique chronique dégénérative qui se déclare entre 45 et 70 ans, la maladie de Parkinson affecte le système nerveux central. Elle est à l’origine de troubles essentiellement moteurs, à évolution progressive. Reconnaissable aux tremblements incontrôlés des membres du patient ou à la rigidité du tronc, cette pathologie est la conséquence directe de la destruction lente de neurones du locus niger (ou « substance noire ») et d'une atteinte des faisceaux nigro-striés. En France, elle toucherait un peu plus de 150 000 personnes. Il n’existe aucun traitement curatif, il est cependant possible avec le Lévodopa, un médicament contenant un précurseur de la dopamine, de ralentir l’évolution de la maladie et ainsi, d’améliorer la qualité de vie des patients. Dans certains pays, il est possible pour quelques cas graves, d’avoir recours à la stimulation cérébrale profonde. On estime qu’un peu plus de 100 000 parkinsoniens dans le monde y ont accès.
Afin de comprendre les causes à l’origine de cette maladie, des chercheurs de l’US National Institutes of Health ont comparé les différentes données issues de 13 708 parkinsoniens à celles provenant de 95 282 témoins. Grâce à une nouvelle méthode qui compare les variations génétiques, ils ont pu identifier de nouvelles différences entre les génomes de personnes atteintes par la maladie et les autres. Ils ont ainsi mis au jour 6 nouveaux gènes susceptibles d’être impliqués dans la survenue de cette maladie. Au final, 24 variants génétiques pourraient être considérés comme des facteurs de risques potentiels.
Pour confirmer leurs résultats, les chercheurs ont criblé un nouveau panel de 10 904 personnes, dont 5 353 avaient déclaré la maladie. pour cela ils ont utilisé une puce, nommée Neurox, dont la principale caractéristique est de contenir les codes d’un peu plus de 24 000 variants génétiques, tous soupçonnés d’être impliqués dans la survenue de troubles neurodégénératifs.
En conclusion, les chercheurs américains estiment que les personnes, possédant un plus grand nombre de mutations, ont des risques nettement plus élevés de développer la maladie de Parkinson.
nathy- Messages : 3
Date d'inscription : 26/05/2011
Age : 39
Localisation : Ain
MALADIES NEUROLOGIQUES - L'espoir.... pour PARKINSON
Il y a aussi ce bel article.
.....
http://www.parkinson.ch/fileadmin/docs/magazin_franz/96_Spaete_Stadien_frz.pdf
article réactualisé 01/2015
http://www.liberation.fr/societe/2014/01/10/l-espoir-de-la-therapie-genique-pour-traiter-la-maladie-de-parkinson_971823
De nouvelles avancées se profilent dans le traitement de la maladie de Parkinson grâce à une thérapie génique expérimentale qui a permis d’améliorer la motricité et la qualité de vie d’une quinzaine de patients atteints d’une forme évoluée de la maladie.
«Les symptômes moteurs de la maladie ont été améliorés jusqu’à 12 mois après l’administration du traitement chez tous les patients, voire jusqu’à 4 ans chez les premiers à avoir été opérés» a dit le Pr Stéphane Palfi, le neurochirurgien français qui a piloté un essai clinique dont les résultats sont publiés vendredi dans la revue médicale britannique The Lancet.
La maladie de Parkinson est l’affection neurodégénérative la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer. Elle touche quelque 5 millions de personnes dans le monde et 120 000 en France.
Réalisée par une équipe de chercheurs franco-britanniques, l’étude clinique de phase 1 et 2 a porté sur 12 patients traités au total depuis 2008 par le Pr Palfi à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil et 3 à l’hôpital Addenbrookes à Cambridge (Royaume-Uni).
La thérapie génique ProSavin a consisté à injecter dans le cerveau des 15 patients un virus de cheval sans danger pour l’homme, appartenant à la famille des lentivirus, vidé de son contenu et «rempli» avec les trois gènes (AADC, TH, CH1) essentiels pour la fabrication de la dopamine, une substance qui fait défaut chez les personnes atteintes de Parkinson.
Avec un recul de quatre ans, les chercheurs estiment avoir pu démontrer «l’innocuité» à long terme de cette méthode innovante pour introduire des gènes dans le cerveau des patients. Grâce à la thérapie génique, les 15 patients opérés se sont remis à fabriquer et à secréter des petites doses de dopamine en continu.
Trois niveaux de doses ont été testées, la plus forte s’étant avérée la plus efficace, selon le Pr Palfi qui estime que ses travaux «ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques dans les maladies du cerveau». Il a toutefois reconnu qu’au-delà de 4 ans, les progrès moteurs s’atténuaient en raison de l’évolution de la maladie.
D’autres approches de thérapie génique utilisant des adénovirus (souvent responsables d’infections respiratoires) et non pas des lentivirus injectés directement dans une région du cerveau appelée le striatum sont actuellement développées aux Etats-Unis et testées sur des patients atteints de formes modérées à sévères de la maladie.
La thérapie génique ProSavin devrait faire l’objet de nouveaux essais cliniques à partir de la fin de l’année, a indiqué le Pr Palfi, précisant que son équipe était en train d’améliorer les performances du vecteur pour qu’il puisse produire plus de dopamine. Dans un commentaire joint à l’article du Lancet, Jon Stoessl de l’Université de British Columbia à Vancouver souligne le côté novateur de l’approche franco-britannique.
Mais il regrette également qu’elle ne s’adresse qu’aux symptômes moteurs et pas à d’autres troubles (hallucinations, changements de caractère, troubles cognitifs), non liés à la production de dopamine mais qui peuvent devenir de plus en plus pénibles au fur et à mesure que la maladie progresse.
Elle est provoquée par la dégénérescence des neurones qui produisent la dopamine, un neurotransmetteur intervenant dans le contrôle de la motricité et se traduit par des symptômes qui s’aggravent progressivement tels que des tremblements, une rigidité des membres et une diminution des mouvements du corps.
Le principal traitement consiste à prendre des médicaments mimant l’action de la dopamine manquante dans le cerveau (levodopa ou L-dopa), mais ceux-ci entraînent au fil du temps des effets indésirables importants, tels que des mouvements anormaux involontaires.
L’autre traitement est la technique de «stimulation cérébrale profonde» qui consiste à implanter des électrodes au sein des structures profondes du cerveau, mais qui nécessite par la suite des «réglages».
.....
http://www.parkinson.ch/fileadmin/docs/magazin_franz/96_Spaete_Stadien_frz.pdf
article réactualisé 01/2015
http://www.liberation.fr/societe/2014/01/10/l-espoir-de-la-therapie-genique-pour-traiter-la-maladie-de-parkinson_971823
Une équipe de chercheurs franco-britanniques publie un essai sur un test clinique expérimental aux résultats prometteurs en matière de motricité et de qualité de vie.
De nouvelles avancées se profilent dans le traitement de la maladie de Parkinson grâce à une thérapie génique expérimentale qui a permis d’améliorer la motricité et la qualité de vie d’une quinzaine de patients atteints d’une forme évoluée de la maladie.
«Les symptômes moteurs de la maladie ont été améliorés jusqu’à 12 mois après l’administration du traitement chez tous les patients, voire jusqu’à 4 ans chez les premiers à avoir été opérés» a dit le Pr Stéphane Palfi, le neurochirurgien français qui a piloté un essai clinique dont les résultats sont publiés vendredi dans la revue médicale britannique The Lancet.
La maladie de Parkinson est l’affection neurodégénérative la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer. Elle touche quelque 5 millions de personnes dans le monde et 120 000 en France.
Réalisée par une équipe de chercheurs franco-britanniques, l’étude clinique de phase 1 et 2 a porté sur 12 patients traités au total depuis 2008 par le Pr Palfi à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil et 3 à l’hôpital Addenbrookes à Cambridge (Royaume-Uni).
La thérapie génique ProSavin a consisté à injecter dans le cerveau des 15 patients un virus de cheval sans danger pour l’homme, appartenant à la famille des lentivirus, vidé de son contenu et «rempli» avec les trois gènes (AADC, TH, CH1) essentiels pour la fabrication de la dopamine, une substance qui fait défaut chez les personnes atteintes de Parkinson.
Avec un recul de quatre ans, les chercheurs estiment avoir pu démontrer «l’innocuité» à long terme de cette méthode innovante pour introduire des gènes dans le cerveau des patients. Grâce à la thérapie génique, les 15 patients opérés se sont remis à fabriquer et à secréter des petites doses de dopamine en continu.
Trois niveaux de doses ont été testées, la plus forte s’étant avérée la plus efficace, selon le Pr Palfi qui estime que ses travaux «ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques dans les maladies du cerveau». Il a toutefois reconnu qu’au-delà de 4 ans, les progrès moteurs s’atténuaient en raison de l’évolution de la maladie.
D’autres approches de thérapie génique utilisant des adénovirus (souvent responsables d’infections respiratoires) et non pas des lentivirus injectés directement dans une région du cerveau appelée le striatum sont actuellement développées aux Etats-Unis et testées sur des patients atteints de formes modérées à sévères de la maladie.
De la dopamine en continu
La thérapie génique ProSavin devrait faire l’objet de nouveaux essais cliniques à partir de la fin de l’année, a indiqué le Pr Palfi, précisant que son équipe était en train d’améliorer les performances du vecteur pour qu’il puisse produire plus de dopamine. Dans un commentaire joint à l’article du Lancet, Jon Stoessl de l’Université de British Columbia à Vancouver souligne le côté novateur de l’approche franco-britannique.
Mais il regrette également qu’elle ne s’adresse qu’aux symptômes moteurs et pas à d’autres troubles (hallucinations, changements de caractère, troubles cognitifs), non liés à la production de dopamine mais qui peuvent devenir de plus en plus pénibles au fur et à mesure que la maladie progresse.
Elle est provoquée par la dégénérescence des neurones qui produisent la dopamine, un neurotransmetteur intervenant dans le contrôle de la motricité et se traduit par des symptômes qui s’aggravent progressivement tels que des tremblements, une rigidité des membres et une diminution des mouvements du corps.
Le principal traitement consiste à prendre des médicaments mimant l’action de la dopamine manquante dans le cerveau (levodopa ou L-dopa), mais ceux-ci entraînent au fil du temps des effets indésirables importants, tels que des mouvements anormaux involontaires.
L’autre traitement est la technique de «stimulation cérébrale profonde» qui consiste à implanter des électrodes au sein des structures profondes du cerveau, mais qui nécessite par la suite des «réglages».
ANTOINE1- Invité
RECHERCHES DE FINANCEMENT - ETUDES PARKINSON
bonjour,
nouvelles dates à publier - diffuser
http://www.parkinson.ca/site/c.jpIMKWOBJoG/b.5302113/k.2CE6/Recherche_et_programmes_cliniques.htm
se serait bien de diffuser cet article....
"
Compétitions Programme national de recherche seront lancés la semaine du 17 Novembre, 2014.
NOTE IMPORTANTE: Les compétitions d'automne et de printemps ont été combinées en une seule compétition avec une date d’échéance de 2 Février 2015.
Le programme national de recherche de la Société Parkinson Canada finance des recherches dans des domaines applicables à la cure, la cause, la prévention, l’amélioration du traitement et/ou la compréhension de la maladie de Parkinson, de troubles connexes comme l’atrophie multisystémique, la paralysie supranucléaire progressive et autres troubles liés au Parkinson ainsi qu’aux répercussions de la maladie dans la société.
Cycle de l’Automne
.
Bourses de recherche Clinique
Bourses cliniques en troubles du movement
Bourse d'études supérieures
**************
Cycle du printemps
Programme de Projets Pilotes
Programme de Subventions pour Nouveaux Chercheurs
Bourses de Recherche Fondamentale
Bourses pour stagiaires du Programme de Partenariat entre la Société Parkinson Canada et le Fonds de Recherche du Québec - Santé (FRQS)
nouvelles dates à publier - diffuser
http://www.parkinson.ca/site/c.jpIMKWOBJoG/b.5302113/k.2CE6/Recherche_et_programmes_cliniques.htm
se serait bien de diffuser cet article....
"
Compétitions Programme national de recherche seront lancés la semaine du 17 Novembre, 2014.
NOTE IMPORTANTE: Les compétitions d'automne et de printemps ont été combinées en une seule compétition avec une date d’échéance de 2 Février 2015.
Le programme national de recherche de la Société Parkinson Canada finance des recherches dans des domaines applicables à la cure, la cause, la prévention, l’amélioration du traitement et/ou la compréhension de la maladie de Parkinson, de troubles connexes comme l’atrophie multisystémique, la paralysie supranucléaire progressive et autres troubles liés au Parkinson ainsi qu’aux répercussions de la maladie dans la société.
Possibilités de financement 2015-2017
Cycle de l’Automne
8 septembre 2014 | Date de publication - Demande de candidatures |
10 novembre 2014 (à 17 h H.N.E) | Date limite de réception des demandes |
Bourses de recherche Clinique
- Durée de deux ans
- 50 000 dollars par an
Bourses cliniques en troubles du movement
- Durée d’un an
- 50 000 dollars par an
Bourse d'études supérieures
- Durée de deux ans
- 15 000 dollars par an
**************
Cycle du printemps
1 décembre 2014 | Date de publication - Demande de candidatures |
2 février 2015 (à 17 h H.N.E). | Date limite de réception des demandes |
Programme de Projets Pilotes
- Durée d’un an
- Financement maximal de 45 000 dollars
Programme de Subventions pour Nouveaux Chercheurs
- Durée de deux ans
- 45 000 dollars par an
Bourses de Recherche Fondamentale
- Durée de deux ans
- Entre 40 000 et 50 000 dollars par an
Bourses pour stagiaires du Programme de Partenariat entre la Société Parkinson Canada et le Fonds de Recherche du Québec - Santé (FRQS)
- Le programme offre de l'aide pendant un maximum de deux ans avec possibilité de prolongation d’un an par le FRQS.
- Entre 40 000 et 50 000 dollars par an
- Les candidats pour la possibilité de financement SPC / FRQS doivent présenter une demande similaire au concours de bourse du F.R.Q.S. pour être considérés pour une bourse de partenariat.
- Toutefois, les candidats sont toujours susceptibles de présenter des demandes d'aide unique à partir du S.P.C. s'ils n'en ont pas soumises à F.R.Q.S."
AIRMEN- Invité
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