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autisme et excès de chlore ?

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autisme et excès de chlore ? Empty autisme et excès de chlore ?

Message par BLEUET Dim 21 Juil - 20:38

Bonsoir,
j'aimerai savoir si des patients ont entendu parler des essais pour éliminer les excès de chlore dans le cerveau ?
Et si on a des informations sur le comportement ?
merci

 http://www.universcience.fr/fr/science-actualites/actualite-as/wl/1248136028639/un-diuretique-nouvelle-piste-contre-l-autisme/

 




23.07.2013
08:10:30


Bonjour,
nous lançons une recherche - en espérant avoir des témoignages.
A notre connaissance, aucune publication officielle ou résultats connus ou confirmés.


N.B. consulter un spécialiste avant de faire des essais ?
intolérance, effets, contre indications ?
Voir article


http://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/12/11/un-diuretique-pour-lutter-contre-l-autisme_1804602_1650684.html

A bientôt


Dernière édition par Admin le Mar 23 Juil - 6:15, édité 3 fois (Raison : insertion lien)

BLEUET
Invité


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autisme et excès de chlore ? Empty essai chlore

Message par Clodie Lun 12 Aoû - 21:10

bonjour,
j'interrogerai notre médecin, pour savoir si on a du nouveau.

A bientôt
clodie

Clodie
Invité


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autisme et excès de chlore ? Empty ESSAI

Message par CLORI Sam 24 Aoû - 14:36

Bonjour, nous avons testé la mélatonine et il y a un peu d'amélioration sur le sommeil mais nous constatons la dépendance que ce médicament entraîne. Le sevrage semble difficile, alors nous hésitons pour le diurétique.

CLORI
Invité


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autisme et excès de chlore ? Empty Re: autisme et excès de chlore ?

Message par TED's1 Mer 27 Nov - 12:40

Pouvez vous publier les fiches de réservations pour la conférence du Lundi 16/12/2013

autisme - TED'S - assimilés


votre fichier PDF est trop important - S.V.P. le renvoyer sous un autre format.
On publiera avec plaisir.

TED's1
Invité


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autisme et excès de chlore ? Empty essai

Message par melatonine Ven 28 Mar - 19:21

bonjour,
nous avons expérimenté la mélatonine pendant un an. 
Il y a bien eu une période d'accalmie.
Puis c'est redevenu comme avant.
Nuits difficiles et hyper activité.

Nous devons faire les examens d'urine sur une période de 24 heures.

Et il nous semble préférable de stopper ces essais.
Les traitements sont déjà très importants.

Nous espérons qu'il n'y aura pas de surprise après cet essai.

Code:

L’effet secondaire principal de la mélatonine est qu’elle peut toucher la production et l’utilisation d’autres hormones dans le corps, comme l’hormone de croissance. On peut aussi citer la fatigue, les étourdissements, la dépression, la confusion, l’irritabilité, les maux de tête, la faible tension artérielle, les nausées, les crampes d’estomac et les vomissements.


melatonine
Invité


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autisme et excès de chlore ? Empty Questions

Message par MAMANTEDS Mar 1 Avr - 7:01

Code:
Question sur contrôle suivi mélatonine

bonjour, j'aimerai bien savoir en quoi consiste ces examens sur la mélatonine.
Je crois comprendre que vous avez essayé un traitement ?
merci de votre réponse.


Code:
les examens consistent à prélever pendant quelques jours (jours et nuit), des petites quantités d'urine.
elles sont conservées au froid (congelé) et analysées.


En 2009, il y a eu une étude très intéressante.
voici un extrait.
Je vous poste le lien en dessous.


Code:
Voir les recherches de :
B. Claustrat
Service d’hormonologie, centre de médecine nucléaire, groupement hospitalier Est,
59, boulevard Pinel, 69677 Bron, France



"...
Atteintes neurologiques L’administration de mélatonine dans les troubles neurologiques sévères d’origine génétique ou acquis, en particulier neurodégénératifs, a fait l’objet de très nombreuses études. Le rationnel du traitement repose sur l’existence d’un rythme veille-sommeil irrégulier et/ou d’une perturbation du rythme (avance ou retard de phase). Selon que les deux symptômes sont associés ou isolés, il faut en théorie s’orienter vers une préparation à libération contrôlée ou une préparation à libération immédiate. Dans tous les cas, il est souhaitable que l’efficacité du traitement soit évaluée par actimétrie. Chez des enfants présentant des troubles du développement avec retard mental associés à un retard de l’endormissement et/ou un trouble du maintien du sommeil, une étude contrôlée récente impliquant une préparation de mélatonine (5 mg) à libération immédiate et prolongée s’est révélée efficace en réduisant la latence d’endormissement et en augmentant la durée du sommeil nocturne. Une amé- lioration clinique significative est globalement perc¸ue par les parents et le personnel soignant [59]. La mélatonine est prescrite dans certains troubles d’origine génétique, en particulier dans les syndromes22 B. Claustrat d’Angelman et de Rett chez lesquels un retard de phase et une fragmentation du sommeil peuvent être observés [60]. Le syndrome de Smith-Magenis, conséquence d’une délétion 17p11.2, constitue un bon modèle physiopathologique impliquant un trouble majeur de la sécrétion de mélatonine. En effet, les patients présentent un profil de sécrétion diurne, donc totalement inversé, avec un phé- notype d’avance de phase très marquée (endormissement et éveil très précoces). L’administration d’un -bloquant le matin et d’une préparation de mélatonine à libération prolongée (Circadin®) à l’heure d’endormissement souhaitée provoque une amélioration majeure des troubles du sommeil, avec pour conséquence une meilleure intégration familiale des patients [61]. Ces prescriptions font l’objet d’une ATU. Le vieillissement s’accompagne d’une tendance à l’avance de phase et d’une fragmentation du sommeil conduisant à une insomnie vraie. Parallèlement, il existe une diminution de la sécrétion de mélatonine, plus marquée pour certains auteurs chez les sujets insomniaques. Cette perturbation du rythme veille-sommeil est patente chez l’Alzheimer, avec une somnolence diurne et une agitation vespérale (sundowning). La concentration de mélatonine est diminuée dans le LCR de ces patients, par rapport à des témoins appariés. Ces données cliniques et biologiques ont conduit à tester l’efficacité de la mélatonine dans l’Alzheimer, éventuellement en association avec la photothérapie. Des effets positifs sont rapportés, dont certains lors d’études en ouvert. En particulier, l’actigraphie montre un allongement du temps de sommeil. Sur des critères subjectifs, la mélatonine à libération prolongée montre une efficacité sur la durée du sommeil et les éveils nocturnes [62]. Ces études doivent être reprises dans des conditions méthodologiques strictes, en privilégiant les préparations à libération contrôlée, qui répondent au concept de synchroniseur endogène. Nous avons vu que la régulation de la sécrétion de mélatonine est complexe, ce qui explique les nombreuses situations pathologiques s’accompagnant d’un rythme de mélatonine perturbé. Ainsi, l’insomnie, qui constitue une des séquelles observées dans les traumatismes crâniens, peut intégrer une avance ou un retard de phase. D’autres atteintes de la voie de régulation telle que tumeur de la région chiasmatique s’accompagnent d’un rythme veillesommeil perturbé, voire d’une absence de rythme. Dans certains cas, il est possible d’entraîner les rythmes avec la mélatonine. La condition minimum est la persistance de récepteurs à la mélatonine fonctionnels dans les NSC et une voie de régulation nerveuse intacte jusqu’à la glande pinéale. Toxicité à court terme, interactions médicamenteuses La toxicité à court terme est très faible, même si elle n’a pas été systématiquement rapportée dans les essais. Elle est surtout connue au travers des essais jet-lag. Les effets secondaires les plus classiques sont des troubles gastro-intestinaux et une céphalée. Cet effet secondaire est cependant à peine plus fréquent cependant qu’avec le placebo. Son apparition est logique dans la mesure où la mélatonine est vasodilatatrice aux doses concernées. Les migraineux ne seront donc pas surpris de voir apparaître une crise. Dans une étude jet-lag, 38 % des sujets montraient une sensation de rocking et un sujet développait des diffi- cultés à respirer et à avaler 20 minutes après la prise de mélatonine. Une revue de dermatologie a rapporté l’apparition d’une éruption pénienne chez deux voyageurs italiens [63]. L’anamnèse et les tests cutanés d’allergie ont montré que la mélatonine était bien en cause ! Un cas d’hépatite auto-immune s’est déclaré après prise orale de 3 mg pendant deux semaines [64]. D’ailleurs, les fabricants de compléments nutritionnels sont prudents dans ce domaine en recommandant de s’abstenir aux patients pré- sentant une maladie auto-immune (maladie rhumatoïde), de même qu’aux femmes enceintes et aux sujets ayant des antécédents de troubles psychiatriques. L’administration de mélatonine est une contre-indication majeure dans les situations où son action chronobiotique pourrait renforcer l’avance de phase des rythmes avec une aggravation des symptômes, par exemple chez certains dépressifs [65]. Un aspect qui apparaît sous-estimé est celui de l’interaction avec les médicaments. En effet, la mélatonine étant métabolisée par les cytochromes hépatiques (CYP1A2 en particulier), les composés inducteurs, substrats ou inhibiteurs de ces cytochromes vont modifier sa biodisponibilité et inversement. La mélatonine peut donc amplifier les effets secondaires ou la réponse à de très nombreux médicaments, dont des psychotropes (antidépresseurs et hypnotiques surtout), des antalgiques, des antiépileptiques et des hormones stéroïdes. Citons aussi l’interaction potentielle avec la warfarine, anticoagulant, antivitamine K. Il est donc souhaitable de se dispenser d’associer la mélatonine à un médicament dont le métabolisme est concerné par ces cytochromes. Conclusion La mélatonine constitue un marqueur biochimique fidèle de l’activité de l’horloge circadienne. La détermination de son profil journalier peut apporter une aide au diagnostic des troubles du rythme veille-sommeil et au suivi des manipulations thérapeutiques des rythmes avec la mélatonine exogène et/ou la lumière. L’utilisation de l’effet resynchronisant de la mélatonine se justifie actuellement dans certains troubles du rythme veille-sommeil, bien que la toxicité à long terme et les interactions médicamenteuses ne soient pas connues. La prise en compte individuelle de la phase de l’horloge circadienne des patients doit conduire à optimiser l’heure d’administration, renforçant ainsi la signi- ficativité des résultats. La connaissance du rôle de la mélatonine dans le contrôle des rythmes circadiens, en particulier du rythme veille sommeil, reste incomplète. Signalons que dans une étude préliminaire chez les patients pinéalectomisés une préparation à libération prolongée a montré un effet bénéfique sur l’insomnie, la vigilance diurne et sur les troubles de l’humeur associés, renforçant le concept de la mélatonine synchroniseur endogène [66].....".

http://www.cmse.ch/pdf/colloque_14_octobre/9_melatonine.pdf

MAMANTEDS
Invité


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